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MON BLLET DU SOIR EN CE SAMEDI 5 AVRIL 2014

1) Ecoutons la Parole dans Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 7,40-53.

 

Sommaire du texte de l’évangile

Jésus est pris à parti par ceux et celles qui le rencontrent : "C'est vraiment lui, le grand Prophète !" ou "C'est lui le Messie !"

"Est-ce que le Messie peut venir de Galilée ?"

"Jamais homme n'a parlé comme cet homme !"

 Présence de  Jésus 1.jpg
                     

2) Laissons résonner la Parole en nos vies.

 

3) Relisons la Parole afin de prendre parti.

Jésus, ta présence et ta Parole ne laissent pas indifférents. Ne coupons pas le monde en tranches, mais apprenons à voir nos propres comportements.

Il ya des jours où notre conviction est faite : "C'est toi le grand Prophète, celui qui nous dévoile le sens de la Parole pour vivre pleinement. Tes paroles comblent un vide qui se creusait en nous." Ou encore, nous affirmons : "C'est bien toi le Messie, l'envoyé venu nous délivrer de ce qui nous enferme !"

Mais il nous arrive parfois de ne plus adhérer, refusant de te reconnaître comme "Prophète" ou comme "Messie". La souffrance, les relations brisées, une vie qui paraît bien ratée, la perte d'un ami sont autant de malaises qui nous ferment les yeux sur toi et tes paroles.

Et puis, voilà qu'un jour, quand la nuit est passée, nos yeux s'ouvrent à nouveau, nos oreilles entendent et nous crions alors : "Jamais un homme n'a parlé comme cet homme !" C'est un cri de naissance ou de renaissance qui nous permet ainsi de retrouver la confiance.

Mais ce dévoilement suppose un dialogue dans une commune respiration, dans cette relation nouvelle que nous renouons avec toi en nous reliant aux autres.

 

4) respiration :

Psaume 7,2-3.9bc-10.11-12a.18b.

Mon Dieu, en toi je trouve mon abri quand la peur m'envahit !

Des idées noires me poursuivent, alors vers toi je pousse un cri.

Toi seul peut me sauver, me délivrer

De ces peurs accumulées

Qui me ferment à tes paroles d'envoyé.
Tu t'ajustes, Mon Dieu, sur mon comportement,

Et tu découvres en moi ce désir innocent.

Oui, je voudrais t'aimer comme tu nous aimes,

Apprends-moi ce chemin qui s'ouvre sur l'espace où tu me mènes !

Tu es mon bouclier, tu salues les cœurs brisés pour les remettre droits.

Tu me protèges et me prends dans tes bras.

Je t'écoute, Seigneur, car jamais homme n'a parlé comme toi.

Michel GUERRE le 5 avril 2014

Présence de Jésus.jpg

 



05/04/2014
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